mercredi 8 décembre 2010

L'addiction aux jeux vidéo reste complexe et marginale

Article du Figaro.fr.

Extrait:
Toutefois, à l'occasion d'un séminaire sur l'addiction et la régulation dans le monde des jeux vidéos organisé par le Centre d'analyse stratégique mardi, médecins et chercheurs spécialisés du domaine ont été unanimes: les cas de jeu excessif sont rares et ne relèvent pas, quelle que soit sa définition, de l'addiction. Ni l'American psychatric association, ni l'OMS ne font d'ailleurs référence pour le moment à une quelconque «dépendance au virtuel», contrairement à ce que l'on pourrait penser en parcourant les médias.

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1 commentaire:

  1. Hummm... Le fait est que dans la "vraie" clinique, la majorité des gamins qu'on nous présentent comme "addicts" aux jeux vidéos... Présentent plus un besoin de mettre un écran (protecteur?) entre eux et la réalité qui les entoure souvent bien pénible... ou qui les sollicite beaucoup trop sur le plan pulsionnel à un âge où justement le pulsionnel est hyperréactif... A ceux-là s'ajoute effectivement les sujets présentant un vrai retrait (plus qu'une défense) des réalités plutôt de nature psychotique...
    Mais on se leurre de réduire la problématique du sujet, souvent bien plus complexe, à ce monosymptôme soit-disant "addictif".

    Alors... Les jolies théories sur la stimulation de certains centres neurologiques et la production d'endorphines et autres neurotransmetteurs... ça me semble souvent bien réducteur et volontairement coupé de toute écoute sur ce que vit le sujet...

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